Alors que dans la majeure partie des pays européens ces frais sont compris entre 15  et 20 % du prix du bien, en Grèce, les frais administratifs de notaire, d’enregistrement, etc. sont plutôt de l’ordre de 8 à 10 %.
La Grèce est aussi « l’Olympe fiscale » puisque lors de la revente du bien immobilier elle ne vous imposera pas sur vos plus-values !

Sur les revenus locatifs aussi l’administration fiscale grecque est plutôt légère : les taux d’imposition sont de 15 % (jusqu’à 12 000 euros de revenus), 35 % (de 12 001 euros à 35 000 euros) ou 45 % (au-delà de 35 000 euros).

Mais nous pouvons largement diminuer ces impositions grâce à nos experts en optimisation. Ainsi, par exemple, en créant l’équivalent grec d’une SCI, vous aurez une taxation beaucoup plus basse et dans laquelle vous pourrez déduire toutes vos dépenses (travaux, transports, etc…). D’ailleurs on observe ces 3 dernières années une très nette augmentation du nombre d’investisseurs venus de Chine, de Russie et du Liban. Des acheteurs connus pour leurs sens des bonnes affaires sur ce marché…

Et si vous vous posiez la question…

Un propriétaire français n’est pas astreint de déclarer son bien grec à l’administration fiscale en France. Sauf s’il est redevable de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Comme nous l’avons vu plus haut, les revenus locatifs de ses biens sont imposables localement, en Grèce, mais pour plus de transparence, ils devront être portés à la connaissance du fisc français pour qu’il détermine le taux d’imposition effectif du contribuable en France.

Et pour finir bien entendu le meilleur atout pour vous en Grèce c’est nous !

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